L'Adamant Nicolas Philibert L’Été au cinéma Besançon kursaal les 2 Scènes
©Films du losange
L'Adamant Nicolas Philibert L’Été au cinéma Besançon kursaal les 2 Scènes
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L'Adamant Nicolas Philibert L’Été au cinéma Besançon kursaal les 2 Scènes
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L'Adamant Nicolas Philibert L’Été au cinéma Besançon kursaal les 2 Scènes
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L'Adamant Nicolas Philibert L’Été au cinéma Besançon kursaal les 2 Scènes
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L'Adamant Nicolas Philibert L’Été au cinéma Besançon kursaal les 2 Scènes
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L'Adamant Nicolas Philibert L’Été au cinéma Besançon kursaal les 2 Scènes
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L'Adamant Nicolas Philibert L’Été au cinéma Besançon kursaal les 2 Scènes
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Sur L’Adamant

Nicolas Philibert – 1h49, 2022
avec les patients et l’équipe soignante du Centre de jour L’Adamant

L’Adamant est un Centre de jour unique en son genre : c’est un bâtiment flottant. Édifié sur la Seine, en plein cœur de Paris, il accueille des adultes souffrant de troubles psychiques, leur offrant un cadre de soins qui les structure dans le temps et l’espace, les aide à renouer avec le monde, à retrouver un peu d’élan. L’équipe qui l’anime est de celles qui tentent de résister autant qu’elles peuvent au délabrement et à la déshumanisation de la psychiatrie.

De l’eau a coulé sous les ponts depuis Être et avoir (2002), sur une classe unique de la maternelle au CM2, qui a révélé Nicolas Philibert. Sept films plus tard, le documentariste sort Sur L’Adamant, consacré à la psychiatrie, Ours d’or au dernier Festival de Berlin. À l’heure où les soignants dénoncent la déshumanisation dans le secteur et le désert psychiatrique en France, l’expérience de ce centre de séjour est une belle surprise. Dans le sillage de Nicolas Philibert, l’on découvre l’espace libre et ouvert de L’Adamant, un bâtiment flottant situé Quai de la Rapée à Paris. Là se retrouvent régulièrement Pierre, Paul ou Jacqueline, déficients mentaux, pour quelques heures, un après-midi, ou une journée. Entourés de professionnels de santé, ils viennent dans un espace convivial faire le point sur leurs activités, leur état d’esprit, leur traitement, échangent leurs expériences.
Certains chantent, jouent d’un instrument ou peignent. Tous parlent une langue incroyablement riche et sensible, consciente d’un état qui aurait fait un pas de côté, mais canalisé. Nicolas Philibert n’exhibe ni n’interroge ses protagonistes, ils parlent, avec leur voix, leur art oratoire, musical ou plastique, avec une spontanéité communicative libératrice, voire libertaire.
Approche patiente, science aiguisée du montage…, Nicolas Philibert écoute, et signe un documentaire à la fois politique et chaleureux sur une psychiatrie menée autrement.
— Jacky Bornet, France télévision

Petit Kursaal
Le 5 juillet
Le 5 juillet 2023 à 18h
Le 5 juillet 2023 à 20h30
Tarif cinéma

de 3 à 5,5 €

à l'unité
plein tarif  5,5 €
tarif réduit*  4,5 €
tarif spécial** / vacances au cinéma 3 €

carte cinéma (10 places)
plein tarif  45 €
tarif réduit*  35 €
tarif spécial** / vacances au cinéma 25 €

*/** → voir les bénéficiaires des tarifs réduit et spécial

sortie en salle le 19 avril 2023

Ours d'or au festival de Berlin

→ Précédé du court métrage Fracas (Rémi Rappe – 6', 2019)
→ Café-ciné à 19h