Les boîtes sur les têtes se transforment en visages surréalistes : des yeux, des bouches et des oreilles découpés sont collés de manière déstructurée, formant des expressions exagérées. Les corps des interprètes sont figés dans des postures expressives, presque caricaturales, évoquant la surprise ou la panique. L’univers visuel oscille entre collage dadaïste et théâtre gestuel.
© Martin Argyroglo
Deux interprètes sont assis, chacun avec une boîte cubique peinte sur la tête. Celle de gauche est monochrome, représentant un visage stylisé en noir et blanc, tandis que celle de droite est couverte d’un motif abstrait coloré (bleu, jaune, rouge). Le contraste entre les deux boîtes crée un jeu visuel saisissant, entre figuration et abstraction. Les costumes sobres mettent en valeur l’aspect graphique des têtes cubiques.
© Martin Argyroglo
Les deux performeurs, toujours coiffés de boîtes noires anonymes, sont assis face à face sur des chaises, mimant une gestuelle théâtrale qui évoque un dialogue ou une confrontation silencieuse. Leurs bras tendus, presque synchronisés, dessinent une symétrie dynamique. La scène, épurée et plongée dans l’obscurité, accentue la dimension chorégraphique et énigmatique de l’échange.
© Martin Argyroglo
Les boîtes sur les têtes se transforment en visages surréalistes : des yeux, des bouches et des oreilles découpés sont collés de manière déstructurée, formant des expressions exagérées. Les corps des interprètes sont figés dans des postures expressives, presque caricaturales, évoquant la surprise ou la panique. L’univers visuel oscille entre collage dadaïste et théâtre gestuel.
© Martin Argyroglo
Deux interprètes sont assis, chacun avec une boîte cubique peinte sur la tête. Celle de gauche est monochrome, représentant un visage stylisé en noir et blanc, tandis que celle de droite est couverte d’un motif abstrait coloré (bleu, jaune, rouge). Le contraste entre les deux boîtes crée un jeu visuel saisissant, entre figuration et abstraction. Les costumes sobres mettent en valeur l’aspect graphique des têtes cubiques.
© Martin Argyroglo
Les deux performeurs, toujours coiffés de boîtes noires anonymes, sont assis face à face sur des chaises, mimant une gestuelle théâtrale qui évoque un dialogue ou une confrontation silencieuse. Leurs bras tendus, presque synchronisés, dessinent une symétrie dynamique. La scène, épurée et plongée dans l’obscurité, accentue la dimension chorégraphique et énigmatique de l’échange.
© Martin Argyroglo

Les Petites Géométries

Coralie Maniez & Justine Macadoux | Compagnie Juscomama

Deux têtes au carré qui débordent d’imagination
Deux drôles de silhouettes se font face. Sur des cubes d’ardoise en guise de têtes, elles font défiler – à l’aide de craies, d’images aimantées ou de collages – un ciel étoilé, une ville en noir et blanc, un oiseau coloré, des émotions monstrueuses ou comiques… Entre jeu masqué, effets sonores mystérieux, théâtre de corps et d’objets, c’est toute une histoire qui se dessine et s’efface pour mieux questionner nos liens à l’image. Celle que l’on a de soi et celle que l’on partage avec les autres. Une épopée poétique et espiègle – visuellement bluffante – qui invite à « penser en-dehors de la boîte ».

La presse en parle

Langogne : Les enfants ont aimé le spectacle "Les petites géométries" – Midi Libre
Théâtre pour tout-petits: un très beau spectacle sur les émotions – Grains de sel

 

Générique
Mise en scène, direction artistique : Coralie Maniez, Justine Macadoux / Lumière : Mickaël Philis, Jean-Luc Chanonat / Son : Antoine Aubry / Interprétation : Coralie Maniez, Justine Macadoux, Jessica Hinds, Camille Thomas, Clémence Joesseau (en alternance) / Regard extérieur : Benjamin Villemagne / Régie : Antoine Aubry, Jean-Baptiste Aubonnet, Christophe Troeira, Thibaud Marchesseau (en alternance) / Construction boîte : Quentin Lugnier
Mentions obligatoires
Production : Ballet Cosmique / Production délégué : Théâtre Paris Villette / Soutien : TJP – Centre dramatique national de Strasbourg ; La BatYsse, lieu dédié aux arts de la marionnette ; Espace Périphérique (Mairie de Paris – Parc de la Villette)
Espace
Du 26 au 28 février 2026
Samedi 28 février 2026 à 10h30
Samedi 28 février 2026 à 15h
+
séance(s) scolaire(s)
Jeudi 26 février 2026 à 09h15
Jeudi 26 février 2026 à 10h45
Jeudi 26 février 2026 à 14h30
Vendredi 27 février 2026 à 09h15
Vendredi 27 février 2026 à 10h45
Vendredi 27 février 2026 à 14h30
35 min | dès 4 ans
Cat I

tarif normal 10 €
réduit* 8 €
spécial** 6 €
enfant *** 5,5 €

*Adhérents Nouveau Théâtre de Besançon CDN, détenteurs de la carte Rodia, membres de l’association du Festival de Musique, COS Ville Besançon CAGB, carte Cezam, carte avantage MGEN, abonnés Ginko, Amicale du CHU de Besançon, comités d’entreprises partenaires, groupes à partir de 10 personnes. Sur présentation d’un justificatif.

**spécial : Jeunes de 11 à 18 ans, étudiants de moins de 30 ans, demandeurs d’emploi, intermittents du spectacle, bénéficiaires des minima sociaux, détenteurs de la carte Avantages Jeunes. 

*** Enfants jusqu'à 10 ans. 

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