Contre un mur, un étudiant (Scott Pilgrim) est à côté d'une étudiante qui a les cheveux rose et une chemise rose. elle le regarde. Lui, serre son gobelet en plastique dans sa main.
© Universal
Scott Pilgrim est dehors. Il regarde un petit bonhomme dans un style pixelisé de jeu vidéo, qui fait comprendre qu'il augmente d'un niveau.
© Universal
Contre un mur, un étudiant (Scott Pilgrim) est à côté d'une étudiante qui a les cheveux rose et une chemise rose. elle le regarde. Lui, serre son gobelet en plastique dans sa main.
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Scott Pilgrim est dehors. Il regarde un petit bonhomme dans un style pixelisé de jeu vidéo, qui fait comprendre qu'il augmente d'un niveau.
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Faut voir #1 | Scott Pilgrim

Edgar Wright – 1h52, Canada, 2010
avec Michael Cera, Mary Elizabeth Winstead

Scott Pilgrim, un dragueur invétéré de 22 ans, rencontre enfin la fille de ses rêves, Ramona. Mais cette dernière traîne les plus singulières casseroles jamais rencontrées : une infâme ligue d’ex qui contrôlent sa vie amoureuse et sont prêts à tout pour éliminer son nouveau prétendant. Pour conquérir le cœur de Ramona, Scott va devoir les affronter un à un.

L’adaptation de l’œuvre BD du Canadien Bryan Lee O’Malley, en tant que telle, est à la fois fidèle et décalée. Si les dialogues sont effectivement quasiment les mêmes au mot près, le ton, lui, est légèrement différent. On sent que Wright a injecté des échantillons de son univers dans celui du Canadien. Une touche personnelle qui s’apparente à une sorte d’idiotie régressive mais terriblement maligne. Comme ses précédents films (Shaun of the Dead, Hot Fuzz), Scott Pilgrim est un film idiot qui ne prend pas les spectateurs pour des idiots. Là où la BD entretenait une atmosphère légèrement neurasthénique sur les bords, en partie grâce au noir et blanc, le film se vautre avec bonheur dans une ambiance délirante et bariolée avec des personnages secondaires hauts en couleurs. […] Wright se démarque aussi dans son utilisation des références. Elles restent dans l’esprit de la BD mais semblent plus nombreuses et donnent à l’ensemble un côté geek plus prononcé et drôle (la musique de Zelda, les incrustations de jeux vidéo, l’hommage désopilant à la série Seinfeld…). Quant aux combats, qui faisaient la grande originalité des planches d’O’Malley, ils sont très jouissifs et évoquent bien sûr les jeux Street Fighter, Mortal Kombat, Dragon Ball mais aussi Guitar Hero. […] Un film générationnel et musical délirant.
Sébastien Mauge, aVoir-aLire.com

Petit Kursaal
Le 12 janvier 2026
Lundi 12 janvier 2026 à 20h
Tarif cinéma

de 3 à 5,5 €

à l'unité
plein tarif  5,5 €
tarif réduit*  4,5 €
tarif spécial** / vacances au cinéma 3 €

carte cinéma (10 places)
plein tarif  45 €
tarif réduit*  35 €
tarif spécial** / vacances au cinéma 25 €

*/** → voir les bénéficiaires des tarifs réduit et spécial

 → Présenté par Jonathan Hernandez, lycéen et membre du Café-ciné.

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