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M. Smith au Sénat

Franck Capra
2h09 - Etats Unis
1940

-----Synopsis : 

Jefferson Smith, jeune politicien naïf et idéaliste, est élu sénateur aux côtés de Joseph Paine, politicien rompu à toutes les combines politiques. Ils doivent défendre au Congrès un projet portant sur la construction d'un barrage, projet s'annonçant plus que juteux pour certains. Smith découvre les non-dits, les corruptions et les compromissions des hommes politiques, et refuse de rester un homme de paille.

 

-----Générique : 

Réalisation : Frank Capra
Scénario : Sidney Buchman d'après le roman de Lewis R. Foster
Direction artistique : Lionel Banks
Photographie : Joseph Walker
Montage : Al Clark, Gene Havlick
Musique : Dimitri Tiomki
Production : Frank Capra
Distribution :

James Stewart : Jefferson Smith
Jean Arthur : Clarissa Saunders
Claude Rains : Sénateur Joseph Harrison Paine
Edward Arnold : Jim Taylor
Guy Kibbee : le gouverneur Hopper
Thomas Mitchell : Diz Moore
Eugene Pallette : Chick McGann
Beulah Bondi : Ma Smith

-----Critiques

Afin de pouvoir continuer à mener tranquillement leurs louches opérations, Jim Taylor, qui contrôle un groupe de presse, et le sénateur Joseph Harrison Paine font élire comme sénateur Jefferson Smith, qui s'occupe d'un groupe de boy-scouts. Emerveillé par sa nouvelle fonction, Jefferson Smith ne se doute pas de ce qui se trame à son insu.
Monsieur Smith au Sénat témoigne de la foi inébranlable de Frank Capra dans la démocratie et ses institutions. Face aux puissants corrompus, Jefferson Smith ne pourra opposer que des enfants, symboles d'une Amérique pure et idéaliste. La performance de son discours de vingt-trois heures au Sénat était faite pour rassurer l'Américain moyen, qui voyait ainsi, malgré toutes les embûches possibles, la victoire du droit sur les compromissions politiques. A la perfection de l'interprétation de James Stewart s'ajoute le soin que le réalisateur apporte à tous les personnages. Cette vaste galerie de politiciens et d'Américains moyens prend ici une étonnante réalité. Capra l'humaniste fait souffler un vent d'exaltation sur le combat que mène presque seul Jefferson Smith (son nom, volontairement banal, est un symbole) contre l'affairisme politique.

André Moreau - Télérama 

 

-----Ressources sur Internet

La fiche de l'ABC 

Le dossier du Site Image

Le 19 mars
Le 19 mars 2013 à 09h