Gustave Courbet

Gustave Courbet : un peintre et un homme tonitruant, hostile à tout conformisme. Comment peut-on, au cinéma, essayer de restituer, sans la trahir par la banalité de l’hommage, la personnalité de cet artiste ?
Ces deux films proposent chacun leur approche personnelle du personnage. Le risque était grand de faire, à partir d’œuvres de commande, une approche conventionnelle d’un peintre qui avait en horreur les institutions politiques ou artistiques de son époque. Romain Goupil et François Royet ont pris deux chemins différents, pour tenter de résoudre cette difficulté avec succès. La diffusion de ces deux films, l’année du Bicentenaire de la naissance de Courbet, essaie de rendre compte de la vigueur de son énergie contestataire.
Jacques Pitoiset

En partenariat avec le département du Doubs, dans le cadre du Bicentenaire Courbet
 

Mentions obligatoires
Gustave Courbet, Le Désespéré, huile sur toile, 1843-1845, 45 x 55 cm, collection privée
JEUDI 3 OCTOBRE À 20H15
de 2,50 à 5€
SUIVI D’UN DÉBAT AVEC ROMAIN GOUPIL ET FRANÇOIS ROYET, les réalisateurs,
ANIMÉ PAR JACQUES PITOISET